Sur bien des aspects, une transformation agile ressemble à une conversion au Bio.
Changement de paradigme, investissements importants et surtout ténacité sont autant d’éléments structurants dans le succès et la durabilité de ces changements.
Imaginé dès les années 1920, le mouvement d’agriculture biologique a mis plusieurs décennies à s’organiser et s’harmoniser pour aboutir au premier règlement européen en 1991. Et ne cesse d’évoluer depuis.
Bien qu’imparfait, le label AB a le mérite de poser des objectifs, de fournir des repères et, en quelque sorte, de valoriser les efforts fournis et à fournir. Choses qui nous manquent parfois dans nos démarches d’agilisation…
Sans ce travail, encore aujourd’hui les agriculteurs souhaitant s’engager devraient faire face à de nombreuses incertitudes et il y a fort à parier que beaucoup renonceraient ou abandonneraient aux premières difficultés.
Au travers d’une analyse croisée Bio/Agilité, nous interrogerons les bienfaits, lacunes et risques à créer un nouveau label : « AD », pour Agilité Durable.
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