Animateur : François Paquis ‐ DGS Université Clermont Auvergne

La crise sanitaire a induit de nombreuses conséquences sur l’activité des laboratoires de recherche euxmêmes, sur les partenariats industriels. S’agissant de l’activité de recherche sous forme de séminaires ou de colloques, quelles conséquences à terme du passage au distanciel, quid de la tarification de colloques à distance ?

Pour ce qui concerne les partenariats industriels et les actions relevant de l’innovation, peut‐on déjà tirer un bilan ou est‐ce trop tôt par rapport à des conséquences économiques à terme ? Y a‐t‐il eu ou devrait‐il y avoir des impacts sur les activités de soutien à la recherche déjà jugées trop faibles dans les établissements français ? Quels impacts sur l’activité des doctorants et rôle des écoles doctorales dans ce cadre ? Quels impacts organisationnels dans la relation avec les EPST ?

• Jean‐François Molter : DGS Université de Lorraine ‐ rapporteur de l’atelier
• Alain Richard : Professeur des universités chargé de l’expérimentation concernant l’harmonisation des processus de gestion pour les UMR Université de Lorraine
• Quentin Bouteille : Doctorant en chimie Université de Bordeaux
• Laurent Barbieri : Délégué régional CNRS région Rhône Auvergne
• Caroline Dreyer : Présidente du réseau des SATT